Un nouveau départ

Bip, Bip, Bip.

La machine qui résume les battements cardiaque se remet enfin à battre. Les systèmes qui font nourrir l'homme couché sur le lit fonctionnent à plein régime. Une multitude de tuyau relie l'homme couché sur le lit à des machines qui le maintiennent en vie.

Tout à coup, après 2 mois de coma intensif, Tony ouvre les yeux. Il a été tirer à 10 reprises dans l'abdomen mais il a survécu au tout. Tout le monde le croyait mort et c'est ce qu'a voulu faire croire la police afin de sauver la vie du jeune homme.

Il regarda autour, il ne vit rien. La porte de sa chambre était fermée, aucune fenêtre ne l'éclairait non plus. Tout à coup, la porte s'ouvrit.

Ouais je sais je vais vérifier sa plus tard, je vais juste faire le contrôle de routine dans le chambre du mort. Dit un infirmer à un autre homme.

Alors que l'infirmier se retourna vers le lit de Tony, il vit le jeune homme qui le fixait droit dans les yeux avec une incompréhension totale des précédents événements.

MERDE IL S'EST RÉVEILLÉ APPELEZ LE MÉDECIN !

Le médecin Guillaume Beaulieu est demandé à la chambre B135 , le docteur Guillaume Beaulieu.

Après une multitude de tests sur Tony, il était décidemment de retour à la vie. Un miracle incroyable s'était produit puisque les 10 coups de fusil qu'avaient reçu Tony n'avait touché aucun organe vitale et avec le travail des ambulanciers, son coeur s'est finalement remis à battre.

Après de longues heures de Travail acharné avec le médecin, Guillaume Beaulieu Stabilisa son état et put appeler la police afin qu'elle exécute son travail.

Les policiers arrivèrent à peu près 1 heure après le réveil de Tony. Ils étaient informés que c'était un cas particulier et qu'il devait être surveiller de près.

Ils commencèrent donc à s'intérroger sur le destin de Tony, Soit d'aller en prison ou de retourner à la liberté quotidienne.

Considérant qu'il a purger sa peine de deux mois d'emprisonnement à l'hôpital, nous devrions le libérer mais si des gens voulaient sa mort dans le passé, ils la voudront certainement encore aujourd'hui. Nous devons lui créer une fausse identitée, lui donner une transformation extrême afin qu'il ne soit plus reconnaissable. Nous devons agir vite avant que les rumeurs se répandent.

Ils commencèrent donc le dur travail qu'imposait la création d'un nouveau citoyen, la création d'une fausse identitée.

Il faut tout d'abord lui trouver un nom... Nous devrions l'appeler Yan Lavoie. Un âge ? 18 ans. Numéro d'assurance sociale ? 192 805 209.

Le baratin se poursuivit un long moment. Les policiers embarquèrent Tony par la suite afin de changer son aspect physique. Tony était musclé, il avait les cheveux bruns et long, les yeux verts, il était habillé de simple vêtements déchirés qui lui donnait un air vagabond. Aujourd'hui, grâve à une teinture, il aurait les cheveux légèrement Rouge-Brun et malgré le fait qu'il aurait pu porter des verres de contacts de couleur, la police savait que Tony ne les mettrait pas donc il conserva ses yeux vert.

Ils durent aller lui trouver une maison dans le quartier branché qui serait financée par l'état. C'est une petite maison mais très douillette. Quant à son habillement, il aurait une garde-robe neuve qui le rendrait plus propre. Il était désormais méconnaissable.

Nous devrions lui inventer un passé aussi ...

D'accord, Tony... je veux dire Yan... Lorsque tu étais enfant tu étais dans une famille riche, ton père était avocate et ta mère avait un doctorat en sciences naturelles. Tes amis sont décédés dans un tragique accident d'auto et tes parents aussi. Ceci est la cause de ton hospitalisation à l'heure actuelle. Tu n'as plus de famille et tu travailles désormais dans un restaurant, celui que tu as cambriolé au paravant. Tu travaillera pour aucun salaire afin de remboursé ta dette envers le propriétaire. Toutefois, tu obtiendras un moment alloué par le Gouvernement à toutes les semaines et tu pourras ainsi subsister. Nous T'avons à l'oeil Yan, Tâche de ne pas faire l'imbécile.

C'est ainsi que Tony, Avec sa nouvelle vie, put regagner un nouveau foyer qui n'était pas sien.

Quartier Branché , Maison de " Yan "