Rue du Lys/Chemin des Cerisiers

Hiya!
Je suis là... Je sors de la piscine et je laisse mes pied sècher sur l'asphalte chaude en mangeant mon Mr. Freeze. Papa a une grosse maison! Elle est gigantesque! Papa dois vendre beaucoup de livre! C'est fantastique! Alors donc, je suis là
me faire sècher au soleil. Je passes mon temps à courir entre les fleurs du jardin et à me rouler dans l'herbe. C'est marant à quel point je me trouve enfantine parfois. En fait, je vous avouerais que je suis plutôt précoce et que j'attend seulement mon beau prince charmant arriver avec sa voiture... Que de rêveries... Ma maison c'est la grosse sur le coin de la rue. En tout cas je crois que je vais m'étendre dans l'herbe en avant de la maison et attendre que le doux châtiment du sommeil vienne éfleurer mes paupières...

Richard passait dans le coin alors qu'il apercut cette merveille près de chez lui, il l'approcha et l'aborda ainsi

D'ou me vient, la belle, une rencontre si agréable ? Quoi! Dans ces lieux champêtres , parmis ces arbres et ces rochers, l'on trouve des personnes comme vous etes !

C'était la première fois de sa vie que Richard était intéressé par une fille et ces mots fluèrent de sa bouche comme une coulée de lave.

Suis-moi , je me dirigeais vers le cinéma, tu veux m'accompagner ?

Il partit donc au cinéma en espérant que la belle le suive.

Cinéma

J'était toute confuse...
Il y avait une sorte d'effet d'attraction qui semblais tirer tout l'univers vers ce garçon... Je n'était pas sure si c'était par sa démarche son attitude ou son style, mais je me sentais à devoir suivre le tracé de ses pas.
Cela me rapellais mama, la manière dont elle avait rencontré papa...
Une chaude journée... Un soleil hurlant qui suait ses rayons de lumière sur notre monde...
En tout cas, je me suis dite:
Allez!
Je fis trois pas au rythme de course:

Attend! Je... Je... Je vais enlever mon maillot et je vais enfiler une robe... Je vais venir avec toi!

Elle se dirigea dans la maison en l'invitant puis ils repartirent pour le cinema...
cinema

Le chemin de retour de la plage à la maison s'est fait plutôt silencieusement. La fin d'après-midi approchait et de gros nuages lourds roulaient sur la terre comme des charrettes transportant des lingots. Je rentrai dans le hall de la maison et j'entendais papa écrire ses chiffres dans son bureau insonorisé. Je dis que je l'entendais écrire car il griffonnait et déchirait ses pages assez bruyamment pour percer le mur de son. Je passai ma tête à travers la porte mal fermé:Ça va papa?
Aussitôt qu'il se retourna, je la vis.
Si lui tremblait de tout son être à la ressentir, moi je la voyait léviter. L'épée de Damoclès faisait réfléter sa lame pour m'aveugler. Je me protéger les yeux et reçu un coup au visge.Merci Damoclès. Ce n'est pas la faute à papa si tout ce mettait au travers de son chemin. D'ailleur, c'est ma faute: Je l'avais vu l'épée. Pourquoi est-ce que je l'ai dérangé?
Vas t'enfermer dans ta chambre qu'il me dit...
Je ressentis une pression sur le crin de cheval au dessus de ma tête...

Au lieu de me rendre directement à ma chambre, je passai par la bbliothèque du domaine. Je volai quelques oeuvres afin de me donner quelque chose à faire. Puis, je courrai jusqu'à ma chambre-qui était pourtant si belle- avec les perles de mes yeux qui coulaient sur mes joues. Je fermai ma porte avec violence, mais je n'étais pas fâché. J'étais juste dépassée. J'avais eus une journée super, à me baigner, le cinema... Richard, la plage... Je pris la bouteille que j'avais volai et cachai et je la bu... Je la calai en fais (caler). Je n'avais plus la tête à lire alors je m'assis sur le banc de mon piano et je jouai. Je crois que j'ai chanté Pierre Lapointe aussi... Enfin.
Beaucoup plus tard, quand je n'avais plus une seule goutte d'alcool dans mon sang, il devait être 10h le soir, un bruit fis trembler la maison.
Je sorti par la fenêtre et je contournai sur la toiture discrètement jusqu'à ce que je vois l'immense camion. Papa sorti brusquement... Il donna beaucoup d'argent au livreur. il me semblait que le crin qui retenait son épée était plus tendu. Presque sur le point de casser.
Je les observai un bon moment...
Il semblait que papa avait acheté des feux de couleurs chinois. Des feux d'artifices que ça s'appelait... Les boîte était bien scèllé: normal avc cette pluie qui tombait comme des clous......
Papa rentra de nouveau et je m'enfermai dans ma chambre... Insomnie.

Le lendemain arrivait lentement...
J'ai dû finir par m'emdormir après le levé du soleil car je me suis réveillée dans mon lit alors que le soleil était bientot au zenith. Je me relaxai en réfléchissant aux évènements et en me qustionnant sur les plans de papa. Quand je regardai par la fenêtre, la voiture de papa n'était plus ou il la stationnait généralement. J'allai me baigner, en plongeant de la toiture... La piscine était directement devant la fenêtre de ma chambre... Ce qui est plutôt convénient pour ce genre d'activité... Plus tard, je me couchai sur la toiture en avant de la maison, ou le soleil plombait, et j'attendis le reste des évènements. Ou du moins, quelque chose qui m'entraînerait en cette belle journée.

Les oiseaux s'étaient tût, le vent s'était arrêté, le soleil ne suait plus, il hurlait... Le temps lui même semblait s'être ralenti pour que le désarrois de la planète entière dure plus longtemps. L'arrosoir automatique avait briser, inondant la terre, forçant les lombrics à sortir j'usquà l'asphalte et y mourir, cuit par le soleil... Carbonisé par la chaleur du juge astral.

Le gazon noyé était long, négligeance causé par la récente défaillance de mon père... Pour la première fois depuis que je suis, je comprend ce que maman voulait dire... Jamais la maison n"avait été aussi laide avec les efforts de maman... Mika Tsutsumi... Son nom de jeune fille... Maintenant je comprend pourquoi elle disait que les femmes avaient étés posés sur terre pour calmé la rage des hommes... Maintenant plus de 6 générations brimé par le malfonctionnement du sexe masculin...
Je laissai place à la haine dans le gouffre éternel de mon coeur et j'abandonné toute raison. Je dois soulager papa... Qui aussi humble qu'il le paraît, est aussi salaud qu'une star. Plusieurs viol, plusieurs meurtres! Vous vous souvenez!? J'ai dis que j'était plutôt précoce... Je suis l'une de ses victimes! J'ai témoigné sa colère et il a tuer mon enfance.... Brimé sa passion.
Je me relever. Déterminé à révéler les jeux louches auxquels il joue. Un nouveau joueur avait joint la parti... Un joueur insoupçonné, sans allié, sans enemi.

Dès mon premier tour, mes actions avaient été planifier. Mes stratégies avaient été vérifier. À mon premier tour de jeu, je consenti è découvrir les petits tours de manchette de mon père.
Je rentrai dans la maison et je descendis l'escalier de chêne. Arrivé au sous-sol, je me plaçai devant la chambre interdite. La fournaise je crois. Déjà je sentais mes pieds trempes. Pourtant mes pieds avaient euent le temps de sècher depuis la dernière fois que j'ai plongée...
J'ouvri la porte pour découvrir les centaines de caisses que papa avait tout simplement jeté de toute ses force è cet endroit précis. Juste devant la fournaise.
Certaines boîtes avaient déjà été vidé. Mais leur contenus n'avaient pas eut pour autant de privilège quand à la disposition sur le plancher cimenté....
Les feux d'artificce gisait là.
J'ai peut-être l'air naïve, mais j'ai déjà écouté la télévision... Et j possède une imagination plus complexe que Verlenne ou Mozart....
Je monai donc à son bureau. 2eme interdit de la maison.
Je fouillai sa paperasse un peu... Je découvri avec surprise que certaines page étaient couvertes de poudre... blanche...
J'ouvri un premier tiroir, rien que des papiers chiffrés...
Un deuxième, un peu plus bas, il y avait trois dictionnaires : Français, Français/Italien, et un dictionnaire sur le rêve et ses symboles...
Je découvris avec étonnement cependant un coffret... ou un étui.
Semblable à un caisse d'instrument...
Je devinai le contenu...
J'entrepris donc d'ouvrir son portable.
Log on...
Richard Bryant...
Mot de passe!
Je n'avais même pas besoin d'y remédier.180793
la date de sa rencontre avec maman...
Tout semblais un rêve... tout me paraissait, ou plutôt, m'apparaissait de lui même. Je dmandais des réponses on me donnait des réponses...
Je sentais depuis un moment déjà que ma conscience défiait son sens concret...
(Msemble Harriet à là rien à dire de cohérent c temps citte:(?)

Alors que je passais à travers tout les mots de passes, le fax se mit à faire de drôles de bruits... Au début j'avais peur et je m'était cachée, mais lorsque j'ai compris que ce n'était que la machine, je me suis élancée sur elle...
L'imprimante scanner fax photocopieuse en couleur de mon père me cracha une feuille imprimée, noir sur blanc... taché rouge...
C'était un sceau...
représentant quelque chose que je ne comprenais pas...
Une secte...?
La mafia?
Ou l'église???
Je ne sais pas encore...
Ma progression allait bien jusqu'à ce que j'entende un bruit de voiture...

Mon sang se figea... La panic prit le dessus, je ne claquai que l'écran du portable et je m'élançai à la fenêtre.

HARRIET!?

Mes tempes lâchaient de grosses goutelettes lourdes... Je débarrai le lock au bas de la fenêtre et je tendi mes bras au ciel our tenter d'atteindre le lock en haut,,,
Je n'y arrivais pas...
J'entend les pas de mon père...

HARRIET!!

Plus le temps!
Je me cachai derrière le rideau... Mes pieds cachés par les plante sèches...
J'entendais mon père marcher dans la pièce... Jeté son manteau, lancer ses bottes sur le mur...
HARRIET EMMÈNES TES FESSES ICI!!!!!

Je ne bougeais plus, je ne respirais plus non plus...

J'attendi qu'il cri mon nom plusieurs fois, le temps qu'il perdre patience, le temps que je devienne bleu, le temps qu'il cour avec violence à l'extérieur de la pièce...

Je repris une grande respiration.
Je courru jus qu'à l'ordi, mais mes pas étaient silencieux.
Je pris la chaise, je l'emmenai jusqu'à la fen^tre et je débarrai le lock du haut.
Je rammené en vitesse la chaise à sa place. Je revint sur le bord de la fenêtre. La corniche était plus étroite d'ici jusqu'à ma chambre...

J'osai un premier pas, puis je regardai derrière...
J'entendi mon père venir à nouveau...
Il m'avait frapper la veille, je sais qu'il n'hésiterait pas à me tuer s'il apprenait que j'était venu ici...
Alors il serait difficile de revenir...
Je regardai à nouveau derrière moi, mon père semblait s'être éloigné...
Je revint au sol, je m'élançai jusqu'à son bureau.
Je prit avec mon le coffret noir, la feuille faxé et je prit une fiche qui contenait plusieurs document suspect. (recouvert de poudre)

Je revint à la fenêtre en vitesse.
Je m'aventurai sur la corniche abrupt et je me dirigeai vers ma chambre.

Je n'était plus que sur une goutière à présent... Mes petits pieds passais tout juste entre les deux bords métalliques. Et comme activé par la furie de mon père, le vent s'était levé. Probablement pendant que je fouillait son bureau.

Mes cheveux virevolletait dans l'air. Mes mains tâtaient violemment le mur pour que je ne tombe pas...

J'avais atteint une corniche plus sécuritaire quand une bourrasque me fit trébuchai. Et je tombai dans le vide.
Je réussi à m'accrocher à la goutière, mais je dû abandonner la fuille faxée qui alla s'accrocher dans les branches d'un arbre dans la cours... Je descendis tranquillement en m'accrochant à des rebord de fenêtre etc et je rejoint finalement le sol. Je me cacahi derrière le cabanon géant et j"enterrai pas très creux mon nouveau trésor dans la terre molle... Je me rendi à l'arbre en question et j'y grimpai en espérant que mon père ne me découvre pas.

Ma progression allait bien...
Je grimpait rapidement... de branche en branche.. d'élan en élan...
J'arrivait presque à toucher la feuille.

CATCH!
Ça y est! Je l'ai!.

Je sautai en bas de l'arbre et j'absorbai le choc avec mes pieds et mes jambes...
Ça faisait mal mais j'avais pas le choix... Il fallait je me cache...
J'ai peur de papa depuis qu'il m'a frappé... Alors je saute... et je cours... Peu importe la souffrance... Peu m'importe le monde.

Je me cachai derriere le cabanon encore.. pour plier la feuille faxée et la
coincer dans mon maillot (1 piece^^).

Je courru vers la fenêtre de la cuisine... Toujours dans la cours arrière de la demeure.
C'était une véritable partie de cache-cache.

Je regardai au travers de la vitre propre. Je voyais personne.
Je m'infiltrai par là. Je marchai silencieusement... Mes pieds nus salis par la terre et la seve de l'arbre tachant les tuiles blanches et impeccable de la céramique de la cuisine aux vastes comptoirs, fours.... et ustensiles...

Je me pris un tablier et je glissai dans l'une des poches de celui-ci un couteau à pain. Je m'armé aussi de mitaine pour le four en guise de pantoufle... pour masquer mes pas dans la maison. Je ne voudrais pas que mon père me trouve parce que je faisait trop de bruit.

Ainsi équippé, mon but était d'atteindre ma chambre pour m'habiller... Et....

Me préparer...

Enfin, il me semblait prédestiné que je parte à cet âge. Mon père est un fou et il doit être emmené en tôle.

(petite musique de background genre decisive battle)(->LOL)

Je quittai la cuisine pour longer le mur du passage, jusqu'à ce que j'atteigne l'escalier. Je monte marche par marche, pas par pas...

J'arrive en haut. personne n'aurait pu sentir une rupture dans le silence tellement mes déplacements étaient discrets. Mais mon père?

Cet "éditeur" en faisait-il autant? ou avait-il quitté le domaine?

Je tounai le coin...

-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah! (suraigu)

Mon père se tenait là, dans un grand habit brun avec de longs gants qui s'étiraient jusqu'aux coudes. Je me mis à courir du plus vite que j'ai pu dans la direction opposé, perdant à ce moment précis les mitaines...

Mon père s'écria d'une voix sévère qui semblait faire trembler le ciel autant que l'enfer:

-HARRIET!

Il piqua sa course et me plaqua (genre footballeur americain) dans le dos. Je perdu mon souffle, et sous l'impact de son épaule contre le centre de mes deux homoplates, je m'écrasai face contre terre.

Il s'avançant sévèrement et il m'empoigna d'une seul main par le cou. Il ne voulait pas m'étouffer, il ne m'écrasait pas la gorge, mais il me soulevait et il m'adossa au mur, les pieds lévitant au dessus du sol.

-Je sais que j'ai reçu un fax aujourd'hui...

Me dit-il d'une voix vicieuses mais sans crié...

-C'est étrange non? Mais... Il est plus là! Oh! Mystère! Mais qui a bien pu la prendre! En plus! Ma mallette et mes documents ont disparus... Mais ils n'ont paas bougé depuis qu'on a emmenagé! Pourquoi est ce qu'il leur aurait poussé des jambes et qu'ils seraient parti prendre une marche? HEIN!? Le jour OU MON FAX DISPARAIT AUSSI! Oh! Mystère mystère! Mais qui a bien pu commettre ce crime? Le crime de voler les propriété privée? MAIS SI C'EST PAS L'ENFANT DE LA CR*** DE PUTE CHINOISE QUI A FALLU QUE JE FOURRE POUR UN PARI!?Oh! Mystère et misère! Mais ou l'enfant de la pute a-telle bien pu cacher le fax hen!? Dans son maillot peut-être?

Je le fixait dans les yeux sans cligner. Affichant un air dégouté, supérieur à cette médiocrité l'ai de vouloir dire:
*Je vais te cracher dessus morpion!*

Je sentais sa mains se resserrer sur mon cou... et son autre main, sa droite, glisser dans mon dos vers le bas...

Je sentais sa poigne droite me tâter.
À ce moment là, mes dents étaient serré si fort que je fu suprise que du sang ne s'écoule pas de ma bouche.

Lentement, je pris le couteau dans la pochedu tablier que je portait toujours.

Mon père, qui avait commencer à me licher le visage à la manière la plus barbare ne remarquait pas mes mouvements.

Je sentais sa langue sur mon oeil fermé lorsque j'empoignai le couteau fermement.

Il recula sa tête et son buste un peu et il déplaça sa main pour détacher sa ceinture.

-SALOPARD!

Que je gueule litéralement en le fouettant la lame denté dans les côtes gauches.
Sa main me relâcha. Je retombai presque debout heureusement.

Il était maintenant à genou lorsque je lui balançai un autre coups de couteay dans le creux de l'épaule droite, à la base du cou.

La lame ne coupait pas autant que je l'aurais voulu:
L'idée était simple, j'aurais voulu le tuer.

Mais au lieu de trancher, le couteau perçait la chair.
Et -j'en suis bien conscente- j'ai seulement huit ans. Mon ingéniosité est ma force, pas mes bras.

Mon père était seulement à peine égratigné, mais le coups dans les côtes semblait avoir eut raison de son bras. Il ne pourra plus m'empoigner avec son bras gauche.

Je laissai le couteau dans son épaule et je piquai ma course à ma chambre. Je pris un sac rapidement et je saisi un livre disney, du linge au hasard, et l'habit vert de gars qui traînait dans ma chambre depuis qu'un soir papa était venu "faire visiter ma chambre" à un gars de 13 ans qui étaient livreurs ou quelquechose du genre.

Mon père entra violemment dans ma chambre, me *tolant* carrément le fameux couteau à pain plein de sang. Je réussi à m'en sortir en protégeant d'un coussin qui explosant en millions de plumes qui volaient à travers la fenêtre. Je saisi mon sac et je le lançai par la fenetre, sur le bord de la toiture.

Le monstre -car il en était bien un- s'approcha le plus rapidement qu'il le pouvait en agitant son poing devant lui. Poing que mangeai droit à la figure...

Dans l'oeil liché -quelle coïncidence-.

Je tombai sur le dos. Presque inerte, presque KO...

Je voyais maintenant l'épée de Damoclès... La mienne...

D'après la légende mythologique, l'épée de Damocles avait été suspendu au dessus d'un roi avare durant unfestin pour démontrer à cet invité la peur de mourir ou quelque chose du genre. Elle était accroché par un crin de cheval fragile qui aurait pu rompre à tout moment...
L'épée représente maintenant le danger qui plane au dessus d'une personne.

Mon épée à moi était fragile, presque sur le point de me transpercerle coeur...

(Pour ceux qui avait pas compris plus tôt, quand Harriet parle de l'épée, c'est une métaphore....)

Mais je ne la laisserai pas me tuer.
Je roulai sur le coté pour esquiver un coup qui aurait pu m'être fatal de la part de mon *très cher* père.

Je me relevai et je saisi mon cochon à sous.
Mon père qui bondissait sur moi, reçu au visage une explosion de porcelaine et une pluis de nickel. Je m'échappai par la porte de ma chambre pour retourner dans le couloir du deuxième.

Je couru jusqu'à l'escalier, glissa la rampe et je me rendi jusqu'à la cave. Je me rendit dans ma vieille salle de jeux et je saisi dans mon ancien coffre de costume un habit de magicien à la théatrale...

Je l'enfilai rapidement, question d'avoir quelque chose sur le dos... Et je m'en allais remonter... Lorsque mes pied se mouillèrent...

Je vis la porte refermer. Celle qui renferme des centaines de feux d'artifice et des litres d'essence....

!

Mon père a dû y avoir pensé lui même pour avoir tout préparé...
En montant plus qu'au pas de course, je réfléchissais...
Qu'esce qui était relié à la fournaise?

Je savais!!!

Je courai vers la cuisine le plus droit que je pouvais, car mon oeuil noire était aveuglé par le sang séché sur mes paupières et il me destabilisait...

Au lieu d'entrer dans la grande piece au vastes comptoirs, je tournai à droite, pour entrer dans la salle de bain... err, L'une des salles de bain.

Mais celle-ci avait une particularité (particulière)...
La céramique qui recouvrait le plancher était importé d'espagne et elle était chauffante...

Je cherchai le contrôle du chauffage...

Et je perdais mon temps à le trouver....
Cherche... cherche...cherche...

FOUND!

Il était haut, sur le mur à l'autre bout de la piece...
J'essayaisde l'attendre, mais j'étai trop petite!

J'avais beau sauter, je n'arrivais qu'à le frôler...
Je me mis n quête de quelque chose qui pourrait me donner de l'altitude...

Il n'avait rien dans la piece... La chose la plus près était probablement les chaises dans la cuicsine à côté...
Je sorti ma tête de la pièce et je regardai si mon père n'était pas dans le corridor... Je tournai le coin et j'entrai dans la grande cuisine.
Je saisi une chaise, et je la trainai dans un vacarme spectaculaire jusqu'à la sale de bain, grafignant les tuiles et le bois franc.

J'accotai la chaise au mur sous le contrôle thermique et je grimpai dessus.
J'activai la chalur au maximum...

*****Ce qui signifiais que la fournaise allait augmenter sa puissance et sa flamme s'élargirait au sous-sol*****

Je couru jusqu'à l'escalier pour atteindre ma chambre...
Mon père m'attrapa par derrière et il m'accota de nouveau au mur...

Mon temps était compté...
Une véritable course contre la montre...

-Tu me fais CHIER!
Que mon père me dit.
-T'es qu'une enfant de pu....

(POW)

Un pétard saute et le bruit surprnd le monstre qui me relache.

(POW POW POW!!)

Je rampe à quatre pattes à une vitesse hallucinante et j'atteint l'escalier. Je grimpe les marches quatre pas quatre en bondissant avec l'aide de la rampe...

(POW POW POW PATATACLOW POW)

Ça sentait le brûlé déjà... Et j'entendais mon père me hurler:

- QUESSE QUE TU AS FAIS ENFANT DE PUTE CHINOISE!!!!

Il ne connais même pas ma lignée... Maman était japonaise...
C'est avec des larmes que j'arrive à ma chambre... Je bondi par la fenêtre, et je kick mon sac qui traînait sur la toiture de l'autre côté de la piscine en ba dans la cours...

Et je me retourne...

Je suis dans la fenêtre... Mon dos est dehors, et ma face est à l'intérieur.

Je vois mon père, à l'utre bout de la piece, dans la porte de ma chambre...
Je me tient droite pour voir à quel point je suis forte et que je suis capable de lui faire face.

Je descend doucement de mon perchoire et je marche tranquillement ver mon coffre à jouait.

-Quesce que tu fais encore enfant de..... euh.... MAIS QUESCEQUE TU FOUT AVEC ÇA MERDE!!!!!!?????

Je sortait mon fleuret du coffre...

-T'ES QU'UN CON!Que je lui répond.
-Ça fait deux ans que tu me payentdes cours d'escrime pour la pièce de théâtre que j'ai toujours voulu jouer! DEUX ANS!!! PIS TU T'EN REND MÊME PAS COMPTE!!!!!!!!

AAAAAAAAAAAAAAA!!!!

Que je gueule suraigu en m'avançant vers mon père à coup de fleuret. Mon père se tasse à gauche.
Je me retourne vers lui, et j'essais de le transpercer.

Quelque fois il parriait à main nu taché de sang (Il avait du enlever ses longs gars lorsqu'il m'avait empoigner au mur en maillot...).

D'autre fois il s'écrasait sur son derrière en reculant...

Il s'accota sur la porte de mon garde-robe...
Mais ce n'est pas une porte coulissante... Ce sont deux porte de chêne qui s'ouvre dans ma chambre et non pas vers l'intérieur du garde-robe.
Des carreaux vitré et flou donne la valeur à cet oeuvre d'art...

Je perce le mur derrière mon père, en passant sous son bras gauche, tout près des côtes que je lui ai endommagé avec le couteau à pain...

Le monstre me kick et je tombe sur le dos, un peu plus loin derrière moi.

Mon père entre dans le garde-robe et barre la porte...
Je m'approche de lui...
Je vois ses yeux flous réfléter la colère, la folie et la rage meurtrière...
Je ne fais que déposer mon fleuret sur les deux vieille poignés...
Je barre la porte à mon tour, de mon côté...
Et pour combler ma frustration, Je fais glisser mon piano à queue devant la porte et je barre les roues...

Je me dirrige à nouveau vers la fenêtre, je monte sur la toiture et jje regade tout droit... Je cri à mon père:

-VOILÀ CE QU'UNE ENFANT DE PUTE PEUT FAIRE À UN PAUVRE CON COMME TOI!

Je prend mon élan calmement et je plonge dans la piscine pendant que la maison explose....

(Film HD à la jeu video: On voit Harriet Harriet plonger comme un Dieu, pis on voit en arrière la maison brûler et exploser.... Des feux d'artifices pètent les carreaux des fenêtre et déchie le ciel de leur éclat et de leur fumée. Il pleut la poudre à canon dans la cours, dans la rue du lys et sur le chemin des cerisiers...
Certains voisins sortent et observent avec terreur la catastrophe... D'autre quitte la maison et s'écarte avec frayeur. On voit Harriet sortir s tête de l'eau...
Elle se retoune et admire. Les feux d'artifices démolisse la maison, et à force qu'il y en aille qui défonce les fenêtre et le toit, on dirait que la maison aveait des cheveux de lumière.)

Après avoir observer quelque seconde la maison brûler, je sorti de l'eau, pris mon sac, couru jusqu'à la clôture du terrain en arrière, je la grimpai, et je me sauvai vers la plage...

Il y avait trois voiture dans le stationnement de la maison derri;re, mais leur 'wennebago' (XDcomment ça s'écrit?XD) n'était pas là...

Je couru jusqu'à la plage en bondissant, pas par pas...

Après avoir lu un bouquin traitant sur la généalogie de la ville, il découvrit que Harriet habitait au coin de la rue du Lys ainsi que du Chemin des cerisiers.

Il marcha donc en direction de la maison de sa dulcinée. Rendu à 2 coins de rue de chez Harriet, il entendit un gros bruit assomant ressemblant à celui du tonnerre. Tout les oiseaux du voisinage se turent. Plus rien ne semblait faire de bruit. C'était le silence PARFAIT.

Richard s'arrêta un moment. Il songea justement que sa provenait d'une maison près de celle de Harriet. Il partit donc à courrir vers celle-ci afin de n'y découvrir qu'une ruine de cendre.

Oh ! mais ... Elle est ... Morte... Oh Ciel cruel pourquoi as-tu déferlé ta foudre sur celle qui avait réussi à conquérir mon coeur! Pourquoi ! POURQUOI !!!! Injura Richard au ciel en pleurant contre le pavée en face de chez Harriet. Il y resta quelques minutes à pleurer et à songer à quel point le désespoir de savoir qu'il ne verrait plus jamais Harriet envahissait son âme et l'assombrissait peu à peu.

C'est alors que, sortant des braises, au travers du bruit des sirènes de police qui arrivaient vers l'ancien domicile de Harriet, Il vit surgir une ombre qui dessinait peu à peu le petit corps délicat qu'était celui d'Harriet. Elle boîtait légèrement. Il se tut et compris rapidement qu'elle avait besoin de son aide puisqu'elle était affolée, blessée et qu'elle semblait meurtrie de coups.

C'est alors qu'il vit Harriet s'effondrer à terre. Elle avait vécu trop de chagrin et trop de peine et le mélange de sentiment la pousse au bout de ses forces. Il se dirigea donc vers elle et , avec ses petits bras, il la prit et avec toutes les petites parcelles de force qu'il lui restait, il l'ammena à la plage. Il ne se demandait pas pourquoi il l'ammenait à la plage, il le savait que c'était la destination de Harriet.

Harriet était intelligente et elle avait besoin d'un petit havre de paix, endroit ou malgré tout le mal environnant, on se sent bien. Pour Richard, Harriet était son havre et c'est pourquoi il s'organisea pour l'y ammener. Il faisait des pauses à tout les coins de rue mais réussit à se rendre à la plage, avec sa douce dans ses bras.

La plage

( plage, le sang du ciel...)

(J'ai enlever mes patins et j'ai mis mes souliers avant d'embarquer dans la voiture^^)

Amanda Dany et moi-même avions tourné un peu autour de la colonne de fumée avant d'arriver sur la rue du lys au carrefour paralysé par les exclamations du voisinage et des banderoles policières...

Je stationnai la voiture et nous débarquâme afin de mieux analyser les uines de ce qui était autrefois un domaine impressionant...
Le milieu de la maison avait été entièrement consumer, alors que les deux extrémité de la structure triangulaire avait été noirci seulement...

L'ambiance autour était sinistre et pesante... Les gens stressaient et s'inquiètaient sur le sort de la pauvre famille qui vivait à cette endroit...

Je demandai à quelques voisins qui scènaient tout près l'accident, et ils m'ont répondu qu'ils ne savaient pas, mais que deux individus, un père et sa fille viivaient ici avant l'incendie...
La voiture avait explosé, on voyait très bien ses restes cependant... Mais cela signifiait-il qu'un membre du duo familliale avait péri?

Surment les autorités et la sécurités nous en dirait plus...
Ou sinon, nous laisserons la scène nous montrer l'accident...

Le carrefour au complet avait été bloqué... Ainsi que le paté de maison sur le chemin des cerisiers... Il semblerait que cet incendie était grandiose et qu'il avait mené la demeure à une fin loin d'être glorieuse...

Soudain, des pompiers sortent de la maison une forme......humanoïde. Sorte de buste calciné...
C'était horrible, j'était saisi de hauts-le-coeur juste à voir l'ombre défilé vers l'ambulance dans la paleur de l'horizon...

-Wackala! m'écriai-je à l'adresse des deux autres... Quesce que vous en pensez?

Jessica arriva en courant pour voir se qui venait de se passer. Puis elle vit au loin des jeunes de son ages, elle s'approcha pour comprendre.

- euhmm désolé,
leur dit elle.

Une fois que les jeunes se retournèrent ellle ajouta

- qu'est-ce qui s'est passé?!
Jessica regarda la maison, en fait le restant de maison.ET soupira.

*j'espère que se n'est pas cet esti de Jd...*
pensa elle toujours en attendant la reponse des jeunes qui était autant supris qu'elle.

Je me retournai, surpris d'entendre une nouvelle voix... Surpris, mais ravi.

-On sais pas trop... On est arrivé il n'y a pas tellement longtemps... Le feu a pris apparemment, mais la maison a plus l'air d'avoir explosé... On m'a dit qu'il y avait un père et sa fille qui vivait ici... Mais... Tentôt... On a vu un truc... Les pompiers ont sortis un genre de... un genre de buste... mais pas un oeuvre d'art tu vois... un genre de buste humain, calciné et... et... Enfin, de quoi nous faire hésiter...

Je décrivais l'horreur en souriant, mais sans pour autant cacher ma curiosité et la tristesse que cette situation des plus tragique me faisait ressentir...

-En passant, moi c'est Jeff...

Je lui tendis la main.


Et je dois l"admettre, elle est pas moche...

Jessica écouta attentivement l'histoire toujours en se demandant qu'est-ce qui aurait pu arriver pour que la maison explose. JD était capable d'en faire des belles. Mais pas tout se qui arrivait était nécéssairement de sa faute. Elle regarda la main de Jeff en se méfiant et la pris délicatement et répondit de sa douce voix

- Moi.... je suis Jessica...
Elle se retourna vers Amanda et lui sourit. Jess fesait plus confiance aux filles qu'aux garçon.

Puis elle se retourna vers la maison.

Amanda sortit de l'auto et courut près des cendres de la maison avec les gars. Plusieurs personne y étaient rassemblées et l'une d'entre elle leur demanda ce qui c'était passé.

Jeff lui répondit, Am écouta ce qu'il lui disait d'une oreille distraite, le regard concentré sur les ruines de la demeure.

-L'ambulance part... avec le buste de la personne retrouvée
dit-elle doucement

Elle regarda les autres en réalisant que ce qu'elle venait de dire était vraiment en train de se produire...

Elle regarda l'ambulance partir tranquilement en direction de l'hopital.

* Il n'y a malheureusement plus rien a faire pour cette personne *
pensa-t-elle ignorant la méchanceté de celle-ci.

(Rox arrive du restau maisonneuve, un passage après une mort...)

Elle arriva enfin aux ruines de l'ancienne majestueuse demeure... Elle avait croisée l'ambulance en s'approchant de la volute de fumée... Elle garra la voiture près de la foule angoissée et elle débarqua... En se promenant parmis les spectateurs, elle vit Jessica...

-HEY! JESS! que Roxanne l'apostrophe...

Elle se rapprocha un peu pour lui montrer que c'était elle qui l'appelait... Elle était contente qu'une de ses amies se etourve ici, elle en apprendra sur ce qui s'est passé....

Jess regarda l'homme dans l'ambulance mais ceci ne lui fesait pas peur car avec JD, elle avait vut pire. Puis elle entendit son nom à travers tous le bruit de la baraque qui tombe en ruine. Mais celle-ci était absorber par l'action devant elle et ne se retourna même pas. C'est dans ces moments là qu'elle pensa beaucoups et trouvait que la vie était toujours plein de problème.



(dsl pour mon texte)

Elle continuait de nager dans la foule tout en regardant droit devant elle, toujours en essayant de captiver l'attention de Jessica.

-JESS! HEY! JESS!

Roxanne contournait les gens, elle les tassait doucement:
-Désolée, Excusez-moi, Pardon...

Enfin elle arriva tout près de son amie.
-Hey! Jessica, quesce qui c'est passé?!

À travers tout le bruit Jessica entendit son nom et finit par sortir de la lune. Elle se retourna et vit son amie.

-ah salut....
dit elle d'une voix un peu embarassé.

- je n'en ai aucune idée... je sais simplement que ceci a explosé...
répondit-elle

Puis elle dit un calin à son amie de fille.

- alors toi ca va...?
ajouta elle d'un ton toujours autant bouleversé.

-Ouais.. ça va. Un peu inquiète, c'est stressant les incendies je trouve... On peut voir voir la maison, mais on ne sait jamais ce qui c'est réelement passé...
Enfin, désolé... Je suis un peu fatigué, je reviens du boulot comme tu peux le constater.

Rox montra à Jess qu'elle portait encore son uniforme de serveuse.

-Au fait, tu peux toujours me donner le numéro de téléphone de ton "client"? Euh... Jonathan... D... JD là? J'appliquerais bien pour cte gars là, il a sûrement besoin d'une aide-ménagère supplémentaire non?

Elle lui fit un clin d'oeil, ne soupçonnant même pas le vrai comportement de cet homme.

-Jess... T'as pas l'air bien... Tu veux qu'on aille se promener et qu'on discute?

J'étais encore là, debout à observer toutes les opérations des autorités... Les voisins étaient en majrité retourné chez eux et seuls quelques flâneurs restaient ici, plus pour discuter qu'intéressé par les évènements...

Le ciel se couchait lentment, m'appelant ainsi au sommeil. Je me retournai vers Amanda et Dany...

-Je vais partir bientôt, vous avez besoin d'un lift?

Et je patientai encore un peu en attendant leurs réponses...